Allez à la cour de circuit près de votre résidence, la résidence de l'agresseur, ou lorsque l'abus est survenu. (Si vous demandez la possession d'un domicile partagé, aller à la cour dans le comté où se trouve le domicile.)
Demander une pétition pour obtenir une ordonnance d'urgence de protection contre le greffier du tribunal de circuit, ou, si vous n'êtes pas en danger immédiat, demander une pétition pour un ordre plénière. (Commandes plénières sont émises à la suite d'une audience dans laquelle vous et l'agresseur ont tous deux la possibilité de témoigner. Ceux-ci fournissent la meilleure protection, et peuvent être émis pour un maximum de deux ans, et renouvelés aussi souvent que nécessaire.)
Remplissez la pétition, décrivant l'incident le plus récent de la violence, et en utilisant des mots spécifiques, tels que "menaçant," "gifles," ou "étouffement." Cité toute action en justice avant que vous avez pris contre l'agresseur.
Vous devez donner votre nom, une adresse postale et un numéro de téléphone, mais vous pouvez demander l'adresse ne soit pas divulguée.
Donnez la pétition dûment rempli au greffier de la cour, qui le transmettra à un juge pour examen. Le juge décidera d'émettre l'ordre d'urgence, et peut vous poser d'autres questions pour déterminer vos besoins pour une ordonnance de protection.
Le juge fixera une date d'audience pour une audition pour un ordre plénière, habituellement dans les deux à trois semaines. Vous recevrez les documents indiquant l'heure et la date de votre audience. L'agresseur sera servi avec un avis d'audience.
Avant l'audience, communiquez avec un eyewitnesses- si nécessaire, vous pouvez assigner ces témoins à comparaître.
Atteindre des preuves d'abus possible. Cela peut inclure des rapports médicaux ou de la police, des photos (de préférence) datées de vos blessures, des armes, un abus calendrier ou agenda documentation, ou des photos de votre ménage en plein désarroi après un incident violent.
Pratiquez votre témoignage, de préférence devant une autre personne. Cela peut aider à vous rendre moins nerveux, aider à garder les détails directement dans votre esprit, et vous aider à présenter votre cas, d'une manière organisée clair.
Assister à l'audience. Si vous ne le faites pas, l'ordre d'urgence sera annulé, et vous devrez recommencer le processus.
Si l'agresseur ne se présente pas, le juge peut accorder automatiquement un ordre plénière, ou ordonner une nouvelle date d'audience.
Si le juge rend l'ordonnance de protection finale, obtenir une copie, l'examiner et demander au juge des questions que vous pourriez avoir. Si le juge ne donne pas une décision immédiate, demander une prolongation de votre ordonnance restrictive d'urgence, le cas échéant.